Une Britannique, la veuve blanche, cerveau de l’attentat à Nairobi
Samantha la “veuve blanche” anglaise, est probablement le cerveau de l’attentat de Nairobi, selon de nombreuses sources convergentes.
Et ce, malgré la réaction de soumission à l’islam faite par David Cameron, le premier ministre britannique, dans la plus pure des traditions de nos « élites » politiques.
« Les meurtriers jihadistes de Nairobi, parmi lesquels il y avait un britannique, (en fait, il y en avait trois) ne représentent pas l’islam, ni les musulmans de Grande Bretagne, ni les musulmans du monde » a déclaré Cameron, qui n’a pas grande qualification pour parler de l’islam, lui qui ne pourrait pas même parler de sa propre religion dont il se dit non pratiquant.
«Les auteurs de ces terribles attentats affirment qu’ils agissent au nom d’une religion. Non, ils les commettent au nom de la terreur, au nom de la violence, au nom de l’extrémisme et de leur vision tordue du monde. » David Cameron
Comment Cameron peut-il affirmer cela ? A-t-il étudié l’islam ? A-t-il lu le coran ? A-t-il seulement pris en considération les versets qui appellent les musulmans à tuer les infidèles, les Juifs, les Chrétiens, les polythéistes, partout où ils se trouvent ? (2 :191, 4 :89 et 9 :05) ? A-t-il seulement demandé aux Autorités religieuses islamiques quel est le statut des non musulmans dans la loi islamique ? A-t-il cherché à savoir si les non musulmans peuvent trouver grâce aux yeux des musulmans, vu qu’ils ne sont jamais considérés comme innocents du simple fait qu’ils ne sont pas nés musulmans, donc coupables d’office ?
Cette « vision tordue du monde » est celle de l’islam, Monsieur Cameron.
David Cameron essaye de se convaincre lui-même que les jihadistes terroristes du Kenya ne représentent pas l’islam, car il a besoin d’y croire, à la lumière de sa politique intérieure d’islamisation. Sinon, il serait considéré comme l’un des responsables de la destruction et de la disparition de la Grande Bretagne.
Hélas pour Cameron, selon les soldats kényans qui affrontent les criminels islamistes dans le centre commercial de Nairobi, le cerveau de cette attaque sanglante serait une femme blanche voilée, appelée la Veuve blanche, une Britannique pure souche, Samantha Lewthwaite, convertie à l’islam depuis son mariage avec un musulman, Germaine Lindsay, également connu sous le nom d’Abdullah Shahid Jamal, l’un des quatre islamistes terroristes responsables des attentats de Londres en 2005..
«Tout est contrôlé par cette muzungu (en swahili: femme blanche)»
«Cette femme blanche voilée donnait des ordres aux hommes armés en arabe.» (Aussi étrange que cela puisse sembler, vu le statut inférieur de la femme dans l’islam, cette convertie britannique, par sa cruauté bien islamique, s’est imposée aux Shebab et ces derniers obéissent à ses ordres.
Le groupe Islamiste terroriste Al Shabaab a déclaré sur Twitter que Samantha Lewthwaite, devenue «Sherafiyah lewthwaite aka Samantha» est une «brave» lady. Nous sommes heureux de l’avoir dans nos rangs.
Et d’ajouter dans un autre tweet : «nous les mujahideen sommes prêts à mourir pour notre cause». (Qu’Allah, le « miséricordieux », la « Paix » soit sur lui, exauce leurs prières.)
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Fier de compter dans ses rangs la « Veuve blanche», Al Shabaab a également cité les noms de deux autres Britanniques : Liban Adam, 23 ans et Ahmed Nasir Shirdoon, 24 ans, faisant partie de l’armée des «guerriers sacrés» ayant perpétré l’attaque sanglante contre le centre commercial de Nairobi. Le groupe, qui dispose d’une grande quantité de munitions et de matériels de vision nocturne, a détruit les caméras de vidéosurveillance à l’intérieur du centre commercial, leur permettant ainsi d’agir sans être surveillés.
Les cibles de ces terroristes islamistes étaient bien les non musulmans. Les malheureux clients qui ne pouvaient pas réciter une prière du coran, ni donner le nom de la mère du prophète, étaient froidement abattus, enfants inclus. Ceux qui passaient ce test macabre avec « succès » étaient libérés.
Pour votre information, le nom de la mère de Mahomet est «Amina bint Wahb». Retenez le, apprenez quelques prières en arabe, cela pourrait vous être utile: les djihadistes n’ont pas de frontière.
Avec une horrible cruauté, d’après certains témoignages, les islamistes assassins auraient coupé les mains de leurs victimes et brûlé leurs visages, afin d’empêcher l’identification.
La Veuve blanche avait été impliquée dans la formation d’un groupe de femmes kamikazes, dans des camps de jihadistes en Somalie, pays voisin sans foi ni loi.
Cette femme de 29 ans menait une vie normale à Aylesbury, avant de rencontrer un musulman britannique, Germaine Lindsay dans un café internet à l’âge de 17 ans et l’épouser trois ans plus tard.
Elle avait d’abord condamné la participation de son mari à l’attentant de Londres et nié avoir eu connaissance de ce projet macabre. Comme toute bonne musulmane, elle pratiquait la taquiya.
Huit ans plus tard, Lewthwaite était devenue l’une des principales recruteurs d’al-Qaïda en Afrique de l’Est et la porte-parole officielle d’Al Shabaab (le Peuple), le groupe terroriste responsable de l’horreur de Nairobi.
La Veuve blanche ne s’insurge pas seulement contre les infidèles occidentaux sur Twitter, elle l’utilise également pour dénoncer des rivaux à la vindicte de ses fidèles. Le dernier objet de sa colère fut Omar Shafik Hammami, un ancien étudiant de l’Alabama. Il tomba la semaine dernière dans une embuscade tendue par des terroristes fidèles à la Veuve blanche, et fut abattu.
Et la «brave» lady annonça joyeusement : «Que son destin serve de leçon à quiconque suit sa trace dans l’espoir de devenir la «vedette» du jihad», jalouse de protéger sa position de leader jihadiste.
La Veuve blanche a juste omis de signaler qu’un homme britannique, supposé être son second mari, avait également perdu la vie dans l’embuscade.
Sa réputation de jihadiste intrépide, cruelle, sans peur, au sein du réseau de la terreur islamique africaine, a été renforcée par son implication en tant que moudjahid – ou guerrière – au cours d’une série d’attentats et de fusillades dans les zones touristiques du Kenya.
La «dada muzungu » (sœur blanche en swahili) Lewthwaite avait déménagé au Kenya avec ses trois enfants en 2007.
Cette femme avait coupé tout lien avec sa famille en Grande-Bretagne et s’était immergée dans les réseaux terroristes islamiques d’Afrique orientale. Elle avait tissé des liens avec d’autres fanatiques britanniques, qui débarquaient au Kenya pour mener le djihad contre les non-croyants.
Une femme blanche, identifiée comme Lewthwaite, a également dirigé un groupe de terroristes à Mombasa : ces derniers lancèrent des grenades dans un bar de cette station touristique côtière kényane, très prisée des Britanniques. Trois personnes, dont un enfant, furent tués et plus de 50 clients blessés.
La veuve blanche est une idéologue islamiste dangereuse, une tueuse de sang froid, que les Autorités kényanes aimeraient abattre à vue. Jusqu’à présent, elle a échappé à l’arrestation grâce au port des tenues islamiques dissimulant son visage lors de ses multiples déplacements entre la Somalie, le Kenya et la Tanzanie. (Bien pratique la burqa ou le niqab, ces « parures de modestie » des femmes musulmanes « vertueuses » soumises à Allah) pour passer inaperçue.
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