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Auteur | Message |
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fils d'adam Musulman
Date d'inscription : 12/09/2010 Messages : 271 Pays : terre de dieu R E L I G I O N : Islam
| Sujet: VICTOR HUGO ET MAHOMET Mer 19 Déc 2012, 12:43 am | |
| Le plus illustre des poètes, HUGO Campagne mondiale pour la sauvegarde de l’intégralité de son œuvre
C’est par la volonté du DIEU unique et sans associé que nos publications sur le montage odieux du 11 septembre nous ont conduit à la découverte de ces poèmes islamistes du plus grand poète de tous les temps dédiés au plus grand homme de tous les temps, le prophète MOUHAMMAD (paix et salut sur lui) et à ses compagnons (sahabas). Mais d’abord, rappelons que les preuves scientifiques que nous avons largement publiées attestant que les avions suicide étaient guidés comme des drones, c’est à dire comme des avions sans pilote, nous ont valu des réponses plutôt positives reçues des Présidences sénégalaise et française entres autres, dans ce montage du 11 septembre perpétré par les forces maléfiques ayant conclu un pacte diabolique avec le lobby sioniste, pour discréditer l’ISLAM et par voie de conséquence la cause palestinienne.
S’agissant du livre d’Henri GUILLEMIN « HUGO », il commence par une citation du poète qui revêt toute sa signification aujourd’hui :
« je m’ignore ; je suis pour moi-même voilé, DIEU seul sait qui je suis et comment je me nomme ».
Extrait du poème l’An neuf de l’Hégire dédié au prophète MOHAMED (psl)
Le lendemain matin voyant l'aube arriver: "Aboubèkre, dit-il, je ne puis me lever, Tu vas prendre le livre et faire la prière. Et sa femme Aïsha se tenait en arrière; Il écoutait pendant qu'aboubèkre lisait, Et souvent à voix basse achevait le verset; Et l'on pleurait pendant qu'il priait de la sorte. Et l'ange de la mort vers le soir à la porte Apparut, demandant qu'on lui permit d'entrer. "Qu'il entre."On vit alors son regard s'éclairer De la même clarté qu'au jour de sa naissance; Et l'ange lui dit:"Dieu désire ta présence. Bien", dit-il Un frisson sur ses tempes courut, Un souffle ouvrit sa lèvre, et Mahomet mourut »
Extrait du poème Cèdre dédié à Seydina Omar, deuxième calife de l’islam, compagnon du prophète.
Omer, le puissant prêtre, aux prophètes pareil, Aperçut, tout auprès de la mer Rouge, à l'ombre D'un santon, un vieux cèdre au grand feuillage sombre Croissant dans un rocher qui bordait le chemin ; Scheik Omer étendit à l'horizon sa main Vers le nord habité par les aigles rapaces, Et, montrant au vieux cèdre, au delà des espaces, La mer Égée, et Jean endormi dans Pathmos, Il poussa du doigt l'arbre et prononça ces mots : « Va, cèdre ! va couvrir de ton ombre cet homme. » Le blanc spectre de sel qui regarde Sodome N'est pas plus immobile au bord du lac amer Que ne le fut le cèdre à qui parlait Omer ; Plus rétif que l'onagre à la voix de son maître, L'arbre n'agita pas une branche .Le prêtre dit : « Va donc ! » et frappa l'arbre de son bâton. Le cèdre, enraciné sous le mur du santon, N'eut pas même un frisson et demeura paisible. Le scheik alors tourna ses yeux vers l'invisible, Fit trois pas, puis, ouvrant sa droite et la levant : « Va ! Cria-t-il, va, cèdre, au nom du Dieu vivant ! » « Que n'as-tu prononcé ce nom plus tôt ? » dit l'arbre. Et, frissonnant, brisant le dur rocher de marbre, Dressant ses bras ainsi qu'un vaisseau ses agrès, Fendant la vieille terre aïeule des forêts, Le grand cèdre, arrachant aux profondes crevasses Son tronc et sa racine et ses ongles vivaces, S'envola comme un sombre et formidable oiseau. Il passa le mont Gour posé comme un boisseau Sur la rouge lueur des forgerons d'Érèbe ; Laissa derrière lui Gophna, Jéricho, Thèbe, L'Égypte aux dieux sans nombre, informe panthéon, Le Nil, fleuve d'Éden, qu'Adam nommait Gehon, Le champ de Galgala plein de couteaux de pierre, Ur, d'où vint Abraham, Bethsad, où naquit Pierre, Et, quittant le désert d'où sortent les fléaux, Traversa Chanaan d'Arphac à Borcéos ; Là, retrouvant la mer, vaste, obscure, sublime, Il plongea dans la nue énorme de l'abîme, Et, franchissant les flots, sombre gouffre ennemi, Vint s'abattre à Pathmos près de Jean endormi. Jean, s'étant réveillé, vit l'arbre, et le prophète Songea, surpris d'avoir de l'ombre sur sa tête |
| | | L'auteur de ce message est actuellement banni du forum - Voir le message | fils d'adam Musulman
Date d'inscription : 12/09/2010 Messages : 271 Pays : terre de dieu R E L I G I O N : Islam
| Sujet: Re: VICTOR HUGO ET MAHOMET Mer 19 Déc 2012, 1:00 am | |
| L’auteur de ces poèmes inimitables, HUGO, prononça la profession de foi (chahada) attestant que DIEU est unique et sans associé et MOHAMED est son serviteur et son envoyé le 6 septembre 1881 dans son appartement à PARIS en présence du Scheik Ibrahim de TLEMCEN d’ALGERIE et adopta en conséquence le nom d’Abou Bekr HUGO. Il mourut donc musulman en 1885. Mais les francs-maçons dirigeants de la Troisième République lui organisèrent des funérailles maçonniques grandioses à l’occasion desquelles ils décidèrent de laïciser le PANTHEON de PARIS uniquement pour pouvoir l’y enterrer et cacher ainsi sa religion musulmane au monde qui est donc toujours dans l’ignorance plus d’un siècle après puisque la loi sur la séparation entre l’Etat et l’Eglise en France ne fut adoptée que près de vingt ans après sa mort. C’est du reste ce que dissimule ignoblement Henri GUILLEMIN dans ce passage de son livre (p 77-78) : « ses funérailles menées par Lockroy et l’équipe gouvernementale ont tout recouvert, tout racheté, tout sauvé. Le cadavre offrait l’occasion d’un grand coup au bénéfice du sectarisme athée. On lui en fut reconnaissant ». Cette attitude inhumaine d’intolérance de GUILLEMIN peut trouver une réponse adéquate dans ce proverbe africain : « celui qui ressent du dégoût pour un arbre, ne doit pas profiter de son ombre » L’affluence de la population, plus d’un million de personnes, lors des funérailles de HUGO est un record inégalé à ce jour en France. C’est HUGO qui attire huit visiteurs sur dix au Panthéon de Paris et il génère donc aujourd’hui 80 % du chiffre d’affaires de ce temple dont il est le produit phare depuis plus d’un siècle. Les francs-maçons espéraient, par leur stratagème, recouvrir définitivement de leur voile pudique, l’œuvre islamique de HUGO. La vérité éclatera inéluctablement au grand jour, sur l’islamité du poète qu’ils ont cachée au monde. Bien avant GUILLEMIN,.le journal La Croix, organe quasi-officiel du parti catholique français déclarait le 23 mai 1885, lendemain du décès de HUGO en guise d’oraison funèbre :« il était fou depuis trente ans ».. Au-delà de cette position de l’église, on ne peut plus, franchement hostile à l’œuvre islamiste de HUGO, DIEU seul sait, si on ne pourrait pas affirmer que le poète avait adopté l’Islam bien avant de prononcer sa profession de foi du 06 septembre 1881 lorsqu ‘on se réfère à ses poèmes sur l’Islam. Dans l’ouvrage d’Alain DECAUX aussi « HUGO » éditions Hachette, il est écrit à propos de ses dispositions testamentaires p 1019 ce qui suit : « je refuse l'oraison de toutes les églises, je demande une prière à toutes les âmes. Je crois en DIEU ». Une analyse élémentaire de ces propos insensés montre leur incohérence absurde qui exclue qu'ils puissent provenir du plus grand des poètes. En effet, on ne peut pas refuser l'oraison de toutes les églises et demander en même temps une prière à toutes les âmes. C'est comme si ceux qui ont une âme ne fréquentaient pas du tout les églises. Manifestement ces propos aberrants prêtés à ce poète résultent de substitutions postérieures à son décès par des francs-maçons ou par ceux qui ont pris fait et cause pour eux qui n'ont pas intérêt à ce que la vérité soit connue du monde. Pour reconstituer les véritables propos du poète afin de donner à l’_expression un sens, il faut remplacer « âmes » par « musulmans » et l’_expression devient: « je refuse l'oraison de toutes les églises. Je demande une prière à tous les musulmans. Je crois au DIEU (unique et sans associé) », ce qui est entre parenthèses a aussi été probablement supprimé postérieurement. Alain DECAUX, ancien ministre de la francophonie, affirme dans son ouvrage de plus de mille pages de contre-vérités et de mensonges que le poète n’avait pas fermé l’enveloppe contenant ses ultimes dispositions testamentaires (p 1018) remise à Vacquerie quelques semaines après le décès de Juliette DROUET, deuxième épouse de HUGO, intervenu le 11 mai 1883 là où Guillemin affirme que ce testament a été rédigé par HUGO dès le 26 juillet 1860 (p65) et confirmé le 02 avril 1883 donc bien avant la mort de Juliette DROUET. En fait tous ces deux auteurs ont menti de façon éhontée car ils savent que ce testament exhibé est bien une vile fabrication de francs-maçons, l’islamité de HUGO se retrouve en toile de fond dans ses œuvres. Il est particulièrement édifiant que la plupart des ouvrages sur le poète soient titrés « HUGO » uniquement, sans indication de son prénom comme si un cas de conscience se posait aux auteurs.
L’histoire de HUGO dans sa vie comme dans son œuvre est à réécrire Nous avons même été amené à expurger ces deux vers du poème dédié au prophète MOHAMED (psl) l’An neuf de l’Hégire en raison de la répétition qu’ils recèlent qui n’est pas du style de HUGO. Ils y ont été post-insérés probablement par des francs-maçons cherchant à avilir l’œuvre islamiste de HUGO qui est décidément inimitable.
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| | | L'auteur de ce message est actuellement banni du forum - Voir le message | darkviking Modérateur : islam/chrétien
Date d'inscription : 06/07/2009 Messages : 2529 Pays : france R E L I G I O N : chrétien
| Sujet: Re: VICTOR HUGO ET MAHOMET Mer 19 Déc 2012, 1:45 am | |
| - fils d'adam a écrit:
- Le plus illustre des poètes, HUGO
Campagne mondiale pour la sauvegarde de l’intégralité de son œuvre
C’est par la volonté du DIEU unique et sans associé que nos publications sur le montage odieux du 11 septembre nous ont conduit à la découverte de ces poèmes islamistes du plus grand poète de tous les temps dédiés au plus grand homme de tous les temps, le prophète MOUHAMMAD (paix et salut sur lui) et à ses compagnons (sahabas). Mais d’abord, rappelons que les preuves scientifiques que nous avons largement publiées attestant que les avions suicide étaient guidés comme des drones, c’est à dire comme des avions sans pilote, nous ont valu des réponses plutôt positives reçues des Présidences sénégalaise et française entres autres, dans ce montage du 11 septembre perpétré par les forces maléfiques ayant conclu un pacte diabolique avec le lobby sioniste, pour discréditer l’ISLAM et par voie de conséquence la cause palestinienne.
S’agissant du livre d’Henri GUILLEMIN « HUGO », il commence par une citation du poète qui revêt toute sa signification aujourd’hui :
« je m’ignore ; je suis pour moi-même voilé, DIEU seul sait qui je suis et comment je me nomme ».
Extrait du poème l’An neuf de l’Hégire dédié au prophète MOHAMED (psl)
Le lendemain matin voyant l'aube arriver: "Aboubèkre, dit-il, je ne puis me lever, Tu vas prendre le livre et faire la prière. Et sa femme Aïsha se tenait en arrière; Il écoutait pendant qu'aboubèkre lisait, Et souvent à voix basse achevait le verset; Et l'on pleurait pendant qu'il priait de la sorte. Et l'ange de la mort vers le soir à la porte Apparut, demandant qu'on lui permit d'entrer. "Qu'il entre."On vit alors son regard s'éclairer De la même clarté qu'au jour de sa naissance; Et l'ange lui dit:"Dieu désire ta présence. Bien", dit-il Un frisson sur ses tempes courut, Un souffle ouvrit sa lèvre, et Mahomet mourut »
Extrait du poème Cèdre dédié à Seydina Omar, deuxième calife de l’islam, compagnon du prophète.
Omer, le puissant prêtre, aux prophètes pareil, Aperçut, tout auprès de la mer Rouge, à l'ombre D'un santon, un vieux cèdre au grand feuillage sombre Croissant dans un rocher qui bordait le chemin ; Scheik Omer étendit à l'horizon sa main Vers le nord habité par les aigles rapaces, Et, montrant au vieux cèdre, au delà des espaces, La mer Égée, et Jean endormi dans Pathmos, Il poussa du doigt l'arbre et prononça ces mots : « Va, cèdre ! va couvrir de ton ombre cet homme. » Le blanc spectre de sel qui regarde Sodome N'est pas plus immobile au bord du lac amer Que ne le fut le cèdre à qui parlait Omer ; Plus rétif que l'onagre à la voix de son maître, L'arbre n'agita pas une branche .Le prêtre dit : « Va donc ! » et frappa l'arbre de son bâton. Le cèdre, enraciné sous le mur du santon, N'eut pas même un frisson et demeura paisible. Le scheik alors tourna ses yeux vers l'invisible, Fit trois pas, puis, ouvrant sa droite et la levant : « Va ! Cria-t-il, va, cèdre, au nom du Dieu vivant ! » « Que n'as-tu prononcé ce nom plus tôt ? » dit l'arbre. Et, frissonnant, brisant le dur rocher de marbre, Dressant ses bras ainsi qu'un vaisseau ses agrès, Fendant la vieille terre aïeule des forêts, Le grand cèdre, arrachant aux profondes crevasses Son tronc et sa racine et ses ongles vivaces, S'envola comme un sombre et formidable oiseau. Il passa le mont Gour posé comme un boisseau Sur la rouge lueur des forgerons d'Érèbe ; Laissa derrière lui Gophna, Jéricho, Thèbe, L'Égypte aux dieux sans nombre, informe panthéon, Le Nil, fleuve d'Éden, qu'Adam nommait Gehon, Le champ de Galgala plein de couteaux de pierre, Ur, d'où vint Abraham, Bethsad, où naquit Pierre, Et, quittant le désert d'où sortent les fléaux, Traversa Chanaan d'Arphac à Borcéos ; Là, retrouvant la mer, vaste, obscure, sublime, Il plongea dans la nue énorme de l'abîme, Et, franchissant les flots, sombre gouffre ennemi, Vint s'abattre à Pathmos près de Jean endormi. Jean, s'étant réveillé, vit l'arbre, et le prophète Songea, surpris d'avoir de l'ombre sur sa tête après Cousteau et Napoléon voici Victor Hugo convertie a l'islam ( bientôt il vont nous trouver des preuves que blanche neige et les 7 nains ce sont aussi converti a l'islam!!) Les pages alimentant la « rumeur Hugo » sont, dans leur toute grande majorité, des pages dont les auteurs sont musulmans et se contentent de répéter la rumeur, répéter encore, répéter toujours, répéter encore et toujours, servilement, c'est à dire islamiquement, comme on apprend à tout bon musulman à le faire dans les soi-disant « écoles » coraniques. Ces musulmans évitent soigneusement de citer les vers qui montrent que Victor Hugo n'avait pas grande estime pour Mahomet et censurent systématiquement, entre autre, le passage où Mahomet déclare : (Extrait du poème l’An neuf de l’Hégire): "Moi, comme être vivant, retenez bien ceci, Je ne suis qu'un limon par les vices noirci ; J'ai de tous les péchés subi l'approche étrange ; Ma chair a plus d'affront qu'un chemin n'a de fange, Et mon corps par le mal est tout déshonoré ; Ô vous tous, je serai bien vite dévoré Si dans l'obscurité du cercueil solitaire Chaque faute de l'homme engendre un ver de terre" ils oublient également que " poème l’An neuf de l’Hégire " n'est en fait q'un extrait du livre "La légende des Siècles", une suite de poèmes dont le thème est l'histoire de l'Humanité. Parmi les sujets du livre ont teouve des poèmes sur la Bible, les diverses mythologies, les évangiles, le christ, la Renaissance etc... |
| | | fils d'adam Musulman
Date d'inscription : 12/09/2010 Messages : 271 Pays : terre de dieu R E L I G I O N : Islam
| Sujet: Re: VICTOR HUGO ET MAHOMET Mer 19 Déc 2012, 2:51 am | |
| [quote="darkviking"] - fils d'adam a écrit:
- Le plus illustre des poètes, HUGO
Campagne mondiale pour la sauvegarde de l’intégralité de son œuvre
. Ces musulmans évitent soigneusement de citer les vers qui montrent que Victor Hugo n'avait pas grande estime pour Mahomet et censurent systématiquement, entre autre, le passage où Mahomet déclare : (Extrait du poème l’An neuf de l’Hégire): "Moi, comme être vivant, retenez bien ceci, Je ne suis qu'un limon par les vices noirci ; J'ai de tous les péchés subi l'approche étrange ; Ma chair a plus d'affront qu'un chemin n'a de fange, Et mon corps par le mal est tout déshonoré ; Ô vous tous, je serai bien vite dévoré Si dans l'obscurité du cercueil solitaire Chaque faute de l'homme engendre un ver de terre" Au lieu de calomnier, quand on vous lit ce n'est que ca, calomnies acusations, calomnies, peut tu m'expliquere ou vois tu dans ce poeme dédié a mahomet, un quelconque affront au prophéte????? j'aimerais bien que tu approfondisse et sans calomnier, on connait la technique des faibles! J'ai l'habitude de citer mes sources moi, par rigueur intellectuel, je ne perd pas mon temps a calomnier! Ce poeme a été ecrit par le poete, il est dedié au prophéte, le fait de dire que c'est un mensonge n'est pas un argument, sauf pour les faibles d'esprit! |
| | | L'auteur de ce message est actuellement banni du forum - Voir le message | gilmig Membre Actif
Date d'inscription : 23/09/2008 Messages : 5161 Pays : France R E L I G I O N : VÉRITÉ* AUTHENTICITÉ
| Sujet: Re: VICTOR HUGO ET MAHOMET Mer 19 Déc 2012, 3:08 am | |
| Moi ce que je vois c'est une recherche de l'auto-glorification de sa religion ...!!!
Cette auto-glorification qui démontre que dans des cas semblables, la religion est "mise" au-dessus de Dieu !
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| | | L'auteur de ce message est actuellement banni du forum - Voir le message | BenJoseph Co-Admin
Date d'inscription : 08/01/2009 Messages : 16091 Pays : Ile de France R E L I G I O N : Chrétienne
| Sujet: Re: VICTOR HUGO ET MAHOMET Mer 19 Déc 2012, 3:35 am | |
| - darkviking a écrit:
- fils d'adam a écrit:
- Le plus illustre des poètes, HUGO
Campagne mondiale pour la sauvegarde de l’intégralité de son œuvre
C’est par la volonté du DIEU unique et sans associé que nos publications sur le montage odieux du 11 septembre nous ont conduit à la découverte de ces poèmes islamistes du plus grand poète de tous les temps dédiés au plus grand homme de tous les temps, le prophète MOUHAMMAD (paix et salut sur lui) et à ses compagnons (sahabas). Mais d’abord, rappelons que les preuves scientifiques que nous avons largement publiées attestant que les avions suicide étaient guidés comme des drones, c’est à dire comme des avions sans pilote, nous ont valu des réponses plutôt positives reçues des Présidences sénégalaise et française entres autres, dans ce montage du 11 septembre perpétré par les forces maléfiques ayant conclu un pacte diabolique avec le lobby sioniste, pour discréditer l’ISLAM et par voie de conséquence la cause palestinienne.
S’agissant du livre d’Henri GUILLEMIN « HUGO », il commence par une citation du poète qui revêt toute sa signification aujourd’hui :
« je m’ignore ; je suis pour moi-même voilé, DIEU seul sait qui je suis et comment je me nomme ».
Extrait du poème l’An neuf de l’Hégire dédié au prophète MOHAMED (psl)
Le lendemain matin voyant l'aube arriver: "Aboubèkre, dit-il, je ne puis me lever, Tu vas prendre le livre et faire la prière. Et sa femme Aïsha se tenait en arrière; Il écoutait pendant qu'aboubèkre lisait, Et souvent à voix basse achevait le verset; Et l'on pleurait pendant qu'il priait de la sorte. Et l'ange de la mort vers le soir à la porte Apparut, demandant qu'on lui permit d'entrer. "Qu'il entre."On vit alors son regard s'éclairer De la même clarté qu'au jour de sa naissance; Et l'ange lui dit:"Dieu désire ta présence. Bien", dit-il Un frisson sur ses tempes courut, Un souffle ouvrit sa lèvre, et Mahomet mourut »
Extrait du poème Cèdre dédié à Seydina Omar, deuxième calife de l’islam, compagnon du prophète.
Omer, le puissant prêtre, aux prophètes pareil, Aperçut, tout auprès de la mer Rouge, à l'ombre D'un santon, un vieux cèdre au grand feuillage sombre Croissant dans un rocher qui bordait le chemin ; Scheik Omer étendit à l'horizon sa main Vers le nord habité par les aigles rapaces, Et, montrant au vieux cèdre, au delà des espaces, La mer Égée, et Jean endormi dans Pathmos, Il poussa du doigt l'arbre et prononça ces mots : « Va, cèdre ! va couvrir de ton ombre cet homme. » Le blanc spectre de sel qui regarde Sodome N'est pas plus immobile au bord du lac amer Que ne le fut le cèdre à qui parlait Omer ; Plus rétif que l'onagre à la voix de son maître, L'arbre n'agita pas une branche .Le prêtre dit : « Va donc ! » et frappa l'arbre de son bâton. Le cèdre, enraciné sous le mur du santon, N'eut pas même un frisson et demeura paisible. Le scheik alors tourna ses yeux vers l'invisible, Fit trois pas, puis, ouvrant sa droite et la levant : « Va ! Cria-t-il, va, cèdre, au nom du Dieu vivant ! » « Que n'as-tu prononcé ce nom plus tôt ? » dit l'arbre. Et, frissonnant, brisant le dur rocher de marbre, Dressant ses bras ainsi qu'un vaisseau ses agrès, Fendant la vieille terre aïeule des forêts, Le grand cèdre, arrachant aux profondes crevasses Son tronc et sa racine et ses ongles vivaces, S'envola comme un sombre et formidable oiseau. Il passa le mont Gour posé comme un boisseau Sur la rouge lueur des forgerons d'Érèbe ; Laissa derrière lui Gophna, Jéricho, Thèbe, L'Égypte aux dieux sans nombre, informe panthéon, Le Nil, fleuve d'Éden, qu'Adam nommait Gehon, Le champ de Galgala plein de couteaux de pierre, Ur, d'où vint Abraham, Bethsad, où naquit Pierre, Et, quittant le désert d'où sortent les fléaux, Traversa Chanaan d'Arphac à Borcéos ; Là, retrouvant la mer, vaste, obscure, sublime, Il plongea dans la nue énorme de l'abîme, Et, franchissant les flots, sombre gouffre ennemi, Vint s'abattre à Pathmos près de Jean endormi. Jean, s'étant réveillé, vit l'arbre, et le prophète Songea, surpris d'avoir de l'ombre sur sa tête
après Cousteau et Napoléon voici Victor Hugo convertie a l'islam ( bientôt il vont nous trouver des preuves que blanche neige et les 7 nains ce sont aussi converti a l'islam!!)
Les pages alimentant la « rumeur Hugo » sont, dans leur toute grande majorité, des pages dont les auteurs sont musulmans et se contentent de répéter la rumeur, répéter encore, répéter toujours, répéter encore et toujours, servilement, c'est à dire islamiquement, comme on apprend à tout bon musulman à le faire dans les soi-disant « écoles » coraniques.
Ces musulmans évitent soigneusement de citer les vers qui montrent que Victor Hugo n'avait pas grande estime pour Mahomet et censurent systématiquement, entre autre, le passage où Mahomet déclare :
(Extrait du poème l’An neuf de l’Hégire):
"Moi, comme être vivant, retenez bien ceci, Je ne suis qu'un limon par les vices noirci ; J'ai de tous les péchés subi l'approche étrange ; Ma chair a plus d'affront qu'un chemin n'a de fange, Et mon corps par le mal est tout déshonoré ; Ô vous tous, je serai bien vite dévoré Si dans l'obscurité du cercueil solitaire Chaque faute de l'homme engendre un ver de terre"
ils oublient également que " poème l’An neuf de l’Hégire " n'est en fait q'un extrait du livre "La légende des Siècles", une suite de poèmes dont le thème est l'histoire de l'Humanité. Parmi les sujets du livre ont trouve des poèmes sur la Bible, les diverses mythologies, les évangiles, le christ, la Renaissance etc... Encore une corânerie de plus. Ils sont menteurs que les arracheurs de dents. Ils ne savent plus quoi inventer. Bientôt ils vont nous sortir que Dostoïevski était musulman. J'espère qu'ils ne vont pas mettre dans liste notre grand Einstein :fourire: |
| | | darkviking Modérateur : islam/chrétien
Date d'inscription : 06/07/2009 Messages : 2529 Pays : france R E L I G I O N : chrétien
| Sujet: Re: VICTOR HUGO ET MAHOMET Mer 19 Déc 2012, 6:20 am | |
| [quote="fils d'adam"] - darkviking a écrit:
- Ces musulmans évitent soigneusement de citer les vers qui montrent que Victor Hugo n'avait pas grande estime pour Mahomet et censurent systématiquement, entre autre, le passage où Mahomet déclare :
(Extrait du poème l’An neuf de l’Hégire):
"Moi, comme être vivant, retenez bien ceci, Je ne suis qu'un limon par les vices noirci ; J'ai de tous les péchés subi l'approche étrange ; Ma chair a plus d'affront qu'un chemin n'a de fange, Et mon corps par le mal est tout déshonoré ; Ô vous tous, je serai bien vite dévoré Si dans l'obscurité du cercueil solitaire Chaque faute de l'homme engendre un ver de terre"
Au lieu de calomnier, quand on vous lit ce n'est que ca, calomnies acusations, calomnies, peut tu m'expliquere ou vois tu dans ce poeme dédié a mahomet, un quelconque affront au prophéte?????
j'aimerais bien que tu approfondisse et sans calomnier, on connait la technique des faibles!
J'ai l'habitude de citer mes sources moi, par rigueur intellectuel, je ne perd pas mon temps a calomnier!
Ce poeme a été ecrit par le poete, il est dedié au prophéte, le fait de dire que c'est un mensonge n'est pas un argument, sauf pour les faibles d'esprit!
- Citation :
- Moi, comme être vivant, retenez bien ceci,
Je ne suis qu'un limon par les vices noirci (traduction: "je suis un engrais pour le vice") |
| | | titibxl Membre d'honneur
Date d'inscription : 30/11/2011 Messages : 2689 Pays : belgique R E L I G I O N : Chrétien
| Sujet: Re: VICTOR HUGO ET MAHOMET Mer 19 Déc 2012, 7:00 am | |
| et mickael jackson, et lady Diana aussi pas oublier ...facile de faire parler les morts...par contre on entend jamais un vivant venir parler de l'islam...aller on leur laisse mohamed ali et cat stevens....
meme cristiano ronaldo (portugais) ils avaient traffiqué une photo ou il recoit une photo d'equipe de foot dans un cadre par des soit disant verset du Coran encadré mdr...le problerme c'est que la vrai photo était disponible (celle avec l'équipe de foot)
enfin ... |
| | | fils d'adam Musulman
Date d'inscription : 12/09/2010 Messages : 271 Pays : terre de dieu R E L I G I O N : Islam
| Sujet: Re: VICTOR HUGO ET MAHOMET Mer 19 Déc 2012, 8:43 am | |
| - titibxl a écrit:
- et mickael jackson, et lady Diana aussi pas oublier ...facile de faire parler les morts...par contre on entend jamais un vivant venir parler de l'islam...aller on leur laisse mohamed ali et cat stevens....
meme cristiano ronaldo (portugais) ils avaient traffiqué une photo ou il recoit une photo d'equipe de foot dans un cadre par des soit disant verset du Coran encadré mdr...le problerme c'est que la vrai photo était disponible (celle avec l'équipe de foot)
enfin ... hahhaa, jackson, diam's, ronaldo et tout le monde du show bizz, on vous les laisse, ce sont le resultat de votre culture! nous les arbes nous n'avons d'idole que allah et point de poster d'une idole quelconque pour nos petits sauf peut etre les photos de nos grand pere et grand mere qui sentent bon la spiritualité! par contre un leopold weiss ou victor hugo, ca me parle! tenez par exemple LEOPOLD WEISS, PRENEZ EN DE LA GRAINE " LES INTELLIGENTS" Léopold Weiss connu sous le nom de Muhammad Asad est issu d’une dynastie rabbinique des confins de l’Europe, dont le grand père Benjamin Weiss de Czernowitz, était connu pour ses colères, ses passions, et ses œuvres. Léopold Weiss nait à Lemberg en 1900, ville des confins orientaux de l’Empire austro-hongrois. Il restera une personnalité fascinante voire une énigme pour certains, de par son parcours hors du commun et sa quête spirituelle : personnage aux multiples facettes dont l’écheveau de son parcours traverse l’Histoire du XX ème siècle pour nous en dévoiler les inquiétudes et les espoirs qui restent toujours d’actualité dans un monde en plein questionnement si ce n’est crise, face aux périls qui ont jalonné l’Histoire et dont nous subissons les effets de nos jours encore. Issu d’une famille de rabbins orthodoxes, puis assimilée à la figure du père qui exerça le métier d’avocat et se détacha peu à peu de la religion de ses ancêtres pour épouser la culture allemande. Toutefois, le père Kiwa (Karl) Weiss qui était peu pratiquant, fut contraint dès son plus jeune âge de suivre un enseignement rabbinique des plus strict, de façon à ce qu’il ne fasse pas comme un de ses oncles qui se convertit au christianisme pour répudier sa femme et épouser une non-Juive. C’est pour cela que Léopold Weiss jouira au contraire d’une éducation plus souple, qui lui permettra de développer son esprit critique. Néanmoins, il sera au fait des écritures anciennes dont l’araméen et l’hébreu qui lui permettront de lire les textes de l’Ancien Testament, de la Mishnah et de la Guermarah au point d’en être familier et d’en maîtriser la langue, tout comme l’arabe avec le Coran bien des années plus tard, et auquel il donnera un remarquable essai de traduction. Déjà adolescent à Vienne, il sera assistant du cinéaste Murnau, puis journaliste de la célèbre Frankfurter Zeitung pour en être plus tard correspondant spécial en Palestine. Il fréquentera les cafés de Vienne. Il écrit à ce propos, « Le café viennois détruit notre intelligence et notre culture. Notre vie littéraire gît morte dans ce gouffre de brouillard et de fumée. » (Cf, correspondance avec Edmund Wengraf). Il y rencontra sûrement des personnalités telles que Sigmund Freud et fut au fait des théories psychanalytiques les plus récentes de part l’intermédiaire de son oncle Dorian Feigenbaum avec qui il partira en Palestine, mais en éprouvera toutefois une forme d’insatisfaction. Il écrira dans son livre le plus connu, Sur le chemin de la Mecque, (p. 57-58), « Les conclusions de la psychanalyse, à laquelle j’étais introduit dans ces jours de perplexité de jeunesse, me laissaient également, bien que pour des raisons différentes, insatisfait. » Il faut comprendre ce sentiment et ce vide existentiel face à une société autrichienne secouée par la première guerre mondiale et en proie au matérialisme et au nationalisme, si ce n’est le fascisme le plus inquiétant, qui donnera lors de la seconde guerre mondiale le pire génocide. C’est ce qui conduira Léopold Weiss à développer une personnalité qui était en perpétuel questionnement et recherche de sens. D’ailleurs, dans le judaïsme de ses aïeux, il lui reprochera une dimension particulariste et un aspect trop ritualiste. Il ne pouvait comprendre comment un Dieu puisse se préoccuper autant du sort d’une nation particulière. Cela lui paraissait suspect. A l’époque, il avouera et écrira qu’il pensait même, (ibid, p. 57-58), « récompensant (le peuple élu) par ses conquêtes s’il suivait sa voie droite et le faisant souffrir entre les mains des incroyants chaque fois qu’il s’en écartait » ; de façon à expliquer sa méfiance. Bien entendu, plus tard en se convertissant à l’islam, il comprendra la place prépondérante que les Banû Israël tiennent dans le Coran, ce qui le réconfortera dans son questionnement, son choix et sa conversion à l’islam. Enfin, Léopold Weiss passera de longues années au Moyen-Orient au contact des bédouins palestiniens et arabes, où il trouvera l’incarnation de ses ancêtres spirituels. Il écrira même, (ibid, p. 89), « Il m’apparut soudain, avec une de ces clartés qui éclatent parfois au-dedans de nous-mêmes et semble illuminer le monde pendant le temps d’un battement de cœur, que David et le temps de David, comme Abraham et le temps d’Abraham, étaient plus proches de leurs racines arabes _comme le sont les bédouins d’aujourd’hui_ que les juifs d’aujourd’hui qui se prétendent leurs descendants…» Comme l’écrit si bien Florance Heymann, dans Un juif pour l’islam (éd. Stock), Lépold Weiss comme la plupart des Européens qui débarquaient au Moyen-Orient avec quelques notions romantiques et erronées ne pensaient jamais à la Palestine comme à une terre arabe. A ce propos Muhammad Asad écrit, « Bien sûr, je savais vaguement que certains Arabes y vivaient, mais j’imaginais qu’il ne s’agissait que de nomades vivant sous la tente dans le désert ou des habitants d’oasis idylliques. Comme toutes mes précédentes lectures sur la Palestine avaient été écrites par des sionistes, je n’avais pas compris que les villes, elles aussi, étaient pleines d’Arabes, à tel point qu’en 1922 on comptait en Palestine près de cinq Arabes pour un seul Juif, ce qui en faisait un pays arabe beaucoup plus que juif. » Léopold Weiss, quelques années plus tard, se convertit à l’islam à l’âge de 26 ans. Surpris par la seconde guerre mondiale dans les Indes britanniques, il se retrouve interné comme ennemi autrichien dans la région de Bombay. Il y apprendra par courrier la déportation de ses parents. Il sera un ami intime du Roi Fahd d’Arabie saoudite auquel il conseillera en vain de se méfier du matérialisme occidental qui risquerait de détruire leur mode de vie authentique qui l’avait tant séduit. Il participera à l’aventure de la fondation du Pakistan, dont il deviendra même ambassadeur et représentant à l’ONU, et il en sera l’idéologue au côté du fameux Muhammad Iqbal. Mais, face aux « indépendances » et aux Etats-Nations naissants, Muhammad Asad comprit fort bien le danger qui se pointait, pour l’avoir connu en Occident. Sur le long terme, la montée des nationalismes allait non pas former une Masse et une Puissance islamique homogène comme le redoutait Elias Canetti et comme le redoutent encore certains sionistes, mais un morcellement de l’Empire Ottoman, démantelé par les puissances mandataires britanniques et françaises, pour arriver aux objectifs et projets dont nous voyons les résultats encore aujourd’hui : diviser pour mieux régner. Même à l’aune de l’impérialisme américain et des révolutions arabes, rien de mieux que d’attiser les guerres ethniques et religieuses (Kurdes, chrétiens orientaux, chiites, sunnites) voire même tribales (Irak, Afghanistan, Lybie) et tensions entre laïques pro-occidentaux et islamistes. Devant des musulmans en proie à la modernité et au nationalisme, le rêve de Muhammad Asad d’un Etat islamique idéal au Pakistan s’évanouira. Dès lors, il ne sera pas compris et passera au pire comme suspect pour avoir répudié son épouse d’origine arabe pour en prendre une d’origine européenne, et au mieux comme un idéaliste. Muhammad Asad restera fidèle à sa foi islamique, mais le constat d’une « Oumma » mythique ne fera que confirmer les chiismes et les tensions qui perdurent depuis la mort du prophète Muhammad (saws). Néanmoins, ce qui restera frappant chez cette personnalité hors du commun qu’est Muhammad Asad, c’est que son identité n’était pas prédéterminée mais en devenir et en constant mouvement et questionnement. Pour reprendre Heidegger, « (Le commencement) ne gît pas devant nous (…) mais il se dresse devant nous ». Conclusion… |
| | | L'auteur de ce message est actuellement banni du forum - Voir le message | BenJoseph Co-Admin
Date d'inscription : 08/01/2009 Messages : 16091 Pays : Ile de France R E L I G I O N : Chrétienne
| Sujet: Re: VICTOR HUGO ET MAHOMET Mer 19 Déc 2012, 9:32 am | |
| - fils d'adam a écrit:
- titibxl a écrit:
- et mickael jackson, et lady Diana aussi pas oublier ...facile de faire parler les morts...par contre on entend jamais un vivant venir parler de l'islam...aller on leur laisse mohamed ali et cat stevens....
meme cristiano ronaldo (portugais) ils avaient traffiqué une photo ou il recoit une photo d'equipe de foot dans un cadre par des soit disant verset du Coran encadré mdr...le problerme c'est que la vrai photo était disponible (celle avec l'équipe de foot)
enfin ... hahhaa, jackson, diam's, ronaldo et tout le monde du show bizz, on vous les laisse, ce sont le resultat de votre culture! nous les arbes nous n'avons d'idole que allah et point de poster d'une idole quelconque pour nos petits sauf peut etre les photos de nos grand pere et grand mere qui sentent bon la spiritualité!
par contre un leopold weiss ou victor hugo, ca me parle!
tenez par exemple LEOPOLD WEISS, PRENEZ EN DE LA GRAINE " LES INTELLIGENTS" Léopold Weiss connu sous le nom de Muhammad Asad est issu d’une dynastie rabbinique des confins de l’Europe, dont le grand père Benjamin Weiss de Czernowitz, était connu pour ses colères, ses passions, et ses œuvres. Léopold Weiss nait à Lemberg en 1900, ville des confins orientaux de l’Empire austro-hongrois. Il restera une personnalité fascinante voire une énigme pour certains, de par son parcours hors du commun et sa quête spirituelle : personnage aux multiples facettes dont l’écheveau de son parcours traverse l’Histoire du XX ème siècle pour nous en dévoiler les inquiétudes et les espoirs qui restent toujours d’actualité dans un monde en plein questionnement si ce n’est crise, face aux périls qui ont jalonné l’Histoire et dont nous subissons les effets de nos jours encore.
Issu d’une famille de rabbins orthodoxes, puis assimilée à la figure du père qui exerça le métier d’avocat et se détacha peu à peu de la religion de ses ancêtres pour épouser la culture allemande. Toutefois, le père Kiwa (Karl) Weiss qui était peu pratiquant, fut contraint dès son plus jeune âge de suivre un enseignement rabbinique des plus strict, de façon à ce qu’il ne fasse pas comme un de ses oncles qui se convertit au christianisme pour répudier sa femme et épouser une non-Juive.
C’est pour cela que Léopold Weiss jouira au contraire d’une éducation plus souple, qui lui permettra de développer son esprit critique. Néanmoins, il sera au fait des écritures anciennes dont l’araméen et l’hébreu qui lui permettront de lire les textes de l’Ancien Testament, de la Mishnah et de la Guermarah au point d’en être familier et d’en maîtriser la langue, tout comme l’arabe avec le Coran bien des années plus tard, et auquel il donnera un remarquable essai de traduction.
Déjà adolescent à Vienne, il sera assistant du cinéaste Murnau, puis journaliste de la célèbre Frankfurter Zeitung pour en être plus tard correspondant spécial en Palestine. Il fréquentera les cafés de Vienne. Il écrit à ce propos, « Le café viennois détruit notre intelligence et notre culture. Notre vie littéraire gît morte dans ce gouffre de brouillard et de fumée. » (Cf, correspondance avec Edmund Wengraf). Il y rencontra sûrement des personnalités telles que Sigmund Freud et fut au fait des théories psychanalytiques les plus récentes de part l’intermédiaire de son oncle Dorian Feigenbaum avec qui il partira en Palestine, mais en éprouvera toutefois une forme d’insatisfaction.
Il écrira dans son livre le plus connu, Sur le chemin de la Mecque, (p. 57-58), « Les conclusions de la psychanalyse, à laquelle j’étais introduit dans ces jours de perplexité de jeunesse, me laissaient également, bien que pour des raisons différentes, insatisfait. » Il faut comprendre ce sentiment et ce vide existentiel face à une société autrichienne secouée par la première guerre mondiale et en proie au matérialisme et au nationalisme, si ce n’est le fascisme le plus inquiétant, qui donnera lors de la seconde guerre mondiale le pire génocide. C’est ce qui conduira Léopold Weiss à développer une personnalité qui était en perpétuel questionnement et recherche de sens.
D’ailleurs, dans le judaïsme de ses aïeux, il lui reprochera une dimension particulariste et un aspect trop ritualiste. Il ne pouvait comprendre comment un Dieu puisse se préoccuper autant du sort d’une nation particulière. Cela lui paraissait suspect. A l’époque, il avouera et écrira qu’il pensait même, (ibid, p. 57-58), « récompensant (le peuple élu) par ses conquêtes s’il suivait sa voie droite et le faisant souffrir entre les mains des incroyants chaque fois qu’il s’en écartait » ; de façon à expliquer sa méfiance. Bien entendu, plus tard en se convertissant à l’islam, il comprendra la place prépondérante que les Banû Israël tiennent dans le Coran, ce qui le réconfortera dans son questionnement, son choix et sa conversion à l’islam.
Enfin, Léopold Weiss passera de longues années au Moyen-Orient au contact des bédouins palestiniens et arabes, où il trouvera l’incarnation de ses ancêtres spirituels. Il écrira même, (ibid, p. 89), « Il m’apparut soudain, avec une de ces clartés qui éclatent parfois au-dedans de nous-mêmes et semble illuminer le monde pendant le temps d’un battement de cœur, que David et le temps de David, comme Abraham et le temps d’Abraham, étaient plus proches de leurs racines arabes _comme le sont les bédouins d’aujourd’hui_ que les juifs d’aujourd’hui qui se prétendent leurs descendants…»
Comme l’écrit si bien Florance Heymann, dans Un juif pour l’islam (éd. Stock), Lépold Weiss comme la plupart des Européens qui débarquaient au Moyen-Orient avec quelques notions romantiques et erronées ne pensaient jamais à la Palestine comme à une terre arabe. A ce propos Muhammad Asad écrit, « Bien sûr, je savais vaguement que certains Arabes y vivaient, mais j’imaginais qu’il ne s’agissait que de nomades vivant sous la tente dans le désert ou des habitants d’oasis idylliques. Comme toutes mes précédentes lectures sur la Palestine avaient été écrites par des sionistes, je n’avais pas compris que les villes, elles aussi, étaient pleines d’Arabes, à tel point qu’en 1922 on comptait en Palestine près de cinq Arabes pour un seul Juif, ce qui en faisait un pays arabe beaucoup plus que juif. »
Léopold Weiss, quelques années plus tard, se convertit à l’islam à l’âge de 26 ans. Surpris par la seconde guerre mondiale dans les Indes britanniques, il se retrouve interné comme ennemi autrichien dans la région de Bombay. Il y apprendra par courrier la déportation de ses parents. Il sera un ami intime du Roi Fahd d’Arabie saoudite auquel il conseillera en vain de se méfier du matérialisme occidental qui risquerait de détruire leur mode de vie authentique qui l’avait tant séduit. Il participera à l’aventure de la fondation du Pakistan, dont il deviendra même ambassadeur et représentant à l’ONU, et il en sera l’idéologue au côté du fameux Muhammad Iqbal.
Mais, face aux « indépendances » et aux Etats-Nations naissants, Muhammad Asad comprit fort bien le danger qui se pointait, pour l’avoir connu en Occident. Sur le long terme, la montée des nationalismes allait non pas former une Masse et une Puissance islamique homogène comme le redoutait Elias Canetti et comme le redoutent encore certains sionistes, mais un morcellement de l’Empire Ottoman, démantelé par les puissances mandataires britanniques et françaises, pour arriver aux objectifs et projets dont nous voyons les résultats encore aujourd’hui : diviser pour mieux régner. Même à l’aune de l’impérialisme américain et des révolutions arabes, rien de mieux que d’attiser les guerres ethniques et religieuses (Kurdes, chrétiens orientaux, chiites, sunnites) voire même tribales (Irak, Afghanistan, Lybie) et tensions entre laïques pro-occidentaux et islamistes.
Devant des musulmans en proie à la modernité et au nationalisme, le rêve de Muhammad Asad d’un Etat islamique idéal au Pakistan s’évanouira. Dès lors, il ne sera pas compris et passera au pire comme suspect pour avoir répudié son épouse d’origine arabe pour en prendre une d’origine européenne, et au mieux comme un idéaliste. Muhammad Asad restera fidèle à sa foi islamique, mais le constat d’une « Oumma » mythique ne fera que confirmer les chiismes et les tensions qui perdurent depuis la mort du prophète Muhammad (saws). Néanmoins, ce qui restera frappant chez cette personnalité hors du commun qu’est Muhammad Asad, c’est que son identité n’était pas prédéterminée mais en devenir et en constant mouvement et questionnement. Pour reprendre Heidegger, « (Le commencement) ne gît pas devant nous (…) mais il se dresse devant nous ».
Conclusion…
Et alors qu'est-ce que ça vous donne de plus ? Il vous faut pas grand chose pour argumenter et pour "dorer" votre religion de l'âge de pierre ! On peut aussi te citer des imams et fils d'imams qui se sont convertis à Christ ! Même des fils, de chefs assassins du Hamas ou du Fatah convertis au christianisme ! Arrête ton char Meshalah, Ben Hur est arrivé :fourire: |
| | | titibxl Membre d'honneur
Date d'inscription : 30/11/2011 Messages : 2689 Pays : belgique R E L I G I O N : Chrétien
| Sujet: Re: VICTOR HUGO ET MAHOMET Jeu 20 Déc 2012, 2:45 am | |
| sans parler du grand prince Abdullah al sabah |
| | | darkviking Modérateur : islam/chrétien
Date d'inscription : 06/07/2009 Messages : 2529 Pays : france R E L I G I O N : chrétien
| Sujet: Re: VICTOR HUGO ET MAHOMET Jeu 20 Déc 2012, 4:41 am | |
| - fils d'adam a écrit:
- titibxl a écrit:
- et mickael jackson, et lady Diana aussi pas oublier ...facile de faire parler les morts...par contre on entend jamais un vivant venir parler de l'islam...aller on leur laisse mohamed ali et cat stevens....
meme cristiano ronaldo (portugais) ils avaient traffiqué une photo ou il recoit une photo d'equipe de foot dans un cadre par des soit disant verset du Coran encadré mdr...le problerme c'est que la vrai photo était disponible (celle avec l'équipe de foot)
enfin ... hahhaa, jackson, diam's, ronaldo et tout le monde du show bizz, on vous les laisse, ce sont le resultat de votre culture! nous les arbes nous n'avons d'idole que allah et point de poster d'une idole quelconque pour nos petits sauf peut etre les photos de nos grand pere et grand mere qui sentent bon la spiritualité!
par contre un leopold weiss ou victor hugo, ca me parle!
tenez par exemple LEOPOLD WEISS, PRENEZ EN DE LA GRAINE " LES INTELLIGENTS" Léopold Weiss connu sous le nom de Muhammad Asad est issu d’une dynastie rabbinique des confins de l’Europe, dont le grand père Benjamin Weiss de Czernowitz, était connu pour ses colères, ses passions, et ses œuvres. Léopold Weiss nait à Lemberg en 1900, ville des confins orientaux de l’Empire austro-hongrois. Il restera une personnalité fascinante voire une énigme pour certains, de par son parcours hors du commun et sa quête spirituelle : personnage aux multiples facettes dont l’écheveau de son parcours traverse l’Histoire du XX ème siècle pour nous en dévoiler les inquiétudes et les espoirs qui restent toujours d’actualité dans un monde en plein questionnement si ce n’est crise, face aux périls qui ont jalonné l’Histoire et dont nous subissons les effets de nos jours encore.
Issu d’une famille de rabbins orthodoxes, puis assimilée à la figure du père qui exerça le métier d’avocat et se détacha peu à peu de la religion de ses ancêtres pour épouser la culture allemande. Toutefois, le père Kiwa (Karl) Weiss qui était peu pratiquant, fut contraint dès son plus jeune âge de suivre un enseignement rabbinique des plus strict, de façon à ce qu’il ne fasse pas comme un de ses oncles qui se convertit au christianisme pour répudier sa femme et épouser une non-Juive.
C’est pour cela que Léopold Weiss jouira au contraire d’une éducation plus souple, qui lui permettra de développer son esprit critique. Néanmoins, il sera au fait des écritures anciennes dont l’araméen et l’hébreu qui lui permettront de lire les textes de l’Ancien Testament, de la Mishnah et de la Guermarah au point d’en être familier et d’en maîtriser la langue, tout comme l’arabe avec le Coran bien des années plus tard, et auquel il donnera un remarquable essai de traduction.
Déjà adolescent à Vienne, il sera assistant du cinéaste Murnau, puis journaliste de la célèbre Frankfurter Zeitung pour en être plus tard correspondant spécial en Palestine. Il fréquentera les cafés de Vienne. Il écrit à ce propos, « Le café viennois détruit notre intelligence et notre culture. Notre vie littéraire gît morte dans ce gouffre de brouillard et de fumée. » (Cf, correspondance avec Edmund Wengraf). Il y rencontra sûrement des personnalités telles que Sigmund Freud et fut au fait des théories psychanalytiques les plus récentes de part l’intermédiaire de son oncle Dorian Feigenbaum avec qui il partira en Palestine, mais en éprouvera toutefois une forme d’insatisfaction.
Il écrira dans son livre le plus connu, Sur le chemin de la Mecque, (p. 57-58), « Les conclusions de la psychanalyse, à laquelle j’étais introduit dans ces jours de perplexité de jeunesse, me laissaient également, bien que pour des raisons différentes, insatisfait. » Il faut comprendre ce sentiment et ce vide existentiel face à une société autrichienne secouée par la première guerre mondiale et en proie au matérialisme et au nationalisme, si ce n’est le fascisme le plus inquiétant, qui donnera lors de la seconde guerre mondiale le pire génocide. C’est ce qui conduira Léopold Weiss à développer une personnalité qui était en perpétuel questionnement et recherche de sens.
D’ailleurs, dans le judaïsme de ses aïeux, il lui reprochera une dimension particulariste et un aspect trop ritualiste. Il ne pouvait comprendre comment un Dieu puisse se préoccuper autant du sort d’une nation particulière. Cela lui paraissait suspect. A l’époque, il avouera et écrira qu’il pensait même, (ibid, p. 57-58), « récompensant (le peuple élu) par ses conquêtes s’il suivait sa voie droite et le faisant souffrir entre les mains des incroyants chaque fois qu’il s’en écartait » ; de façon à expliquer sa méfiance. Bien entendu, plus tard en se convertissant à l’islam, il comprendra la place prépondérante que les Banû Israël tiennent dans le Coran, ce qui le réconfortera dans son questionnement, son choix et sa conversion à l’islam.
Enfin, Léopold Weiss passera de longues années au Moyen-Orient au contact des bédouins palestiniens et arabes, où il trouvera l’incarnation de ses ancêtres spirituels. Il écrira même, (ibid, p. 89), « Il m’apparut soudain, avec une de ces clartés qui éclatent parfois au-dedans de nous-mêmes et semble illuminer le monde pendant le temps d’un battement de cœur, que David et le temps de David, comme Abraham et le temps d’Abraham, étaient plus proches de leurs racines arabes _comme le sont les bédouins d’aujourd’hui_ que les juifs d’aujourd’hui qui se prétendent leurs descendants…»
Comme l’écrit si bien Florance Heymann, dans Un juif pour l’islam (éd. Stock), Lépold Weiss comme la plupart des Européens qui débarquaient au Moyen-Orient avec quelques notions romantiques et erronées ne pensaient jamais à la Palestine comme à une terre arabe. A ce propos Muhammad Asad écrit, « Bien sûr, je savais vaguement que certains Arabes y vivaient, mais j’imaginais qu’il ne s’agissait que de nomades vivant sous la tente dans le désert ou des habitants d’oasis idylliques. Comme toutes mes précédentes lectures sur la Palestine avaient été écrites par des sionistes, je n’avais pas compris que les villes, elles aussi, étaient pleines d’Arabes, à tel point qu’en 1922 on comptait en Palestine près de cinq Arabes pour un seul Juif, ce qui en faisait un pays arabe beaucoup plus que juif. »
Léopold Weiss, quelques années plus tard, se convertit à l’islam à l’âge de 26 ans. Surpris par la seconde guerre mondiale dans les Indes britanniques, il se retrouve interné comme ennemi autrichien dans la région de Bombay. Il y apprendra par courrier la déportation de ses parents. Il sera un ami intime du Roi Fahd d’Arabie saoudite auquel il conseillera en vain de se méfier du matérialisme occidental qui risquerait de détruire leur mode de vie authentique qui l’avait tant séduit. Il participera à l’aventure de la fondation du Pakistan, dont il deviendra même ambassadeur et représentant à l’ONU, et il en sera l’idéologue au côté du fameux Muhammad Iqbal.
Mais, face aux « indépendances » et aux Etats-Nations naissants, Muhammad Asad comprit fort bien le danger qui se pointait, pour l’avoir connu en Occident. Sur le long terme, la montée des nationalismes allait non pas former une Masse et une Puissance islamique homogène comme le redoutait Elias Canetti et comme le redoutent encore certains sionistes, mais un morcellement de l’Empire Ottoman, démantelé par les puissances mandataires britanniques et françaises, pour arriver aux objectifs et projets dont nous voyons les résultats encore aujourd’hui : diviser pour mieux régner. Même à l’aune de l’impérialisme américain et des révolutions arabes, rien de mieux que d’attiser les guerres ethniques et religieuses (Kurdes, chrétiens orientaux, chiites, sunnites) voire même tribales (Irak, Afghanistan, Lybie) et tensions entre laïques pro-occidentaux et islamistes.
Devant des musulmans en proie à la modernité et au nationalisme, le rêve de Muhammad Asad d’un Etat islamique idéal au Pakistan s’évanouira. Dès lors, il ne sera pas compris et passera au pire comme suspect pour avoir répudié son épouse d’origine arabe pour en prendre une d’origine européenne, et au mieux comme un idéaliste. Muhammad Asad restera fidèle à sa foi islamique, mais le constat d’une « Oumma » mythique ne fera que confirmer les chiismes et les tensions qui perdurent depuis la mort du prophète Muhammad (saws). Néanmoins, ce qui restera frappant chez cette personnalité hors du commun qu’est Muhammad Asad, c’est que son identité n’était pas prédéterminée mais en devenir et en constant mouvement et questionnement. Pour reprendre Heidegger, « (Le commencement) ne gît pas devant nous (…) mais il se dresse devant nous ».
Conclusion…
sauf que Victor Hugo ne c'est jamais convertis a l'islam!!! et comparé a des intellectuels ex-muslmans convertis au christianisme comme -Daniel Ali -Bahaa el-Din Ahmed Hussein el-Akkad, -Imad ud-din Lahiz -Paul Mulla ...................Weiss ne vaut pas grand chose |
| | | gilmig Membre Actif
Date d'inscription : 23/09/2008 Messages : 5161 Pays : France R E L I G I O N : VÉRITÉ* AUTHENTICITÉ
| Sujet: Re: VICTOR HUGO ET MAHOMET Jeu 20 Déc 2012, 5:13 am | |
| La "lecture" que je fais de ces "conversions" prétendues ou imaginaires, c'est :
- " je fais ce que je fais parce que les autres le font aussi ...! "
Foi en les hommes et non ...en Dieu !!!
|
| | | L'auteur de ce message est actuellement banni du forum - Voir le message | yacoub MODERATION
Date d'inscription : 27/07/2010 Messages : 7006 Pays : france R E L I G I O N : agnostique
| Sujet: Re: VICTOR HUGO ET MAHOMET Ven 11 Oct 2013, 12:28 am | |
| Prophète ! si ta main me sauve De ces impurs démons des soirs, J'irai prosterner mon front chauve Devant tes sacrés encensoirs ! Fais que sur ces portes fidèles Meure leur souffle d'étincelles, Et qu'en vain l'ongle de leurs ailes Grince et crie à ces vitraux noirs !
|
| | | florence_yvonne Membre d'honneur
Date d'inscription : 08/06/2008 Messages : 9561 Pays : FRANCE R E L I G I O N : Déiste,
| Sujet: Re: VICTOR HUGO ET MAHOMET Ven 11 Oct 2013, 5:04 am | |
| Victor Hugo, glorifiait peut-être Mahomet, mais qui est Mahomet ? pas Mohammed en tout cas |
| | | yacoub MODERATION
Date d'inscription : 27/07/2010 Messages : 7006 Pays : france R E L I G I O N : agnostique
| Sujet: Re: VICTOR HUGO ET MAHOMET Sam 23 Nov 2013, 4:28 am | |
| - florence_yvonne a écrit:
- Victor Hugo, glorifiait peut-être Mahomet, mais qui est Mahomet ? pas Mohammed en tout cas
Salut Florence_Yvonne. En échange, je te raconterai la véritable histoire de Victor Hugo avec l'islam. En guerre les guerriers ! Mahomet ! Mahomet ! Les chiens mordent les pieds du lion qui dormait, Ils relèvent leur tête infâme. Ecrasez, ô croyants du prophète divin, Ces chancelants soldats qui s'enivrent de vin, Ces hommes qui n'ont qu'une femme !
Meure la race franque et ses rois détestés ! Spahis, timariots, allez, courez, jetez A travers les sombres mêlées Vos sabres, vos turbans, le bruit de votre cor, Vos tranchants étriers, larges triangles d'or, Vos cavales échevelées !
Qu'Othman, fils d'Ortogrul, vive en chacun de vous. Que l'un ait son regard et l'autre son courroux. Allez, allez, ô capitaines ! Et nous te reprendrons, ville aux dômes d'azur, Molle Setiniah, qu'en leur langage impur Les barbares nomment Athènes ! |
| | | Arlequin MODERATION
Date d'inscription : 06/05/2013 Messages : 3242 Pays : Algérie R E L I G I O N : Muslim
| Sujet: Re: VICTOR HUGO ET MAHOMET Sam 23 Nov 2013, 6:03 am | |
| En tout cas,moi,je ne connais qu'Hugo Chavez! |
| | | florence_yvonne Membre d'honneur
Date d'inscription : 08/06/2008 Messages : 9561 Pays : FRANCE R E L I G I O N : Déiste,
| Sujet: Re: VICTOR HUGO ET MAHOMET Sam 23 Nov 2013, 6:04 am | |
| - Arlequin a écrit:
- En tout cas,moi,je ne connais qu'Hugo Chavez!
Tu n'as pas appris Victor Hugo à l'école ? |
| | | Arlequin MODERATION
Date d'inscription : 06/05/2013 Messages : 3242 Pays : Algérie R E L I G I O N : Muslim
| Sujet: Re: VICTOR HUGO ET MAHOMET Sam 23 Nov 2013, 6:08 am | |
| "Tu n'as pas appris Victor Hugo à l'école ?"
Oh!Que si!Sauf que je ne l'ai jamais aimé. |
| | | florence_yvonne Membre d'honneur
Date d'inscription : 08/06/2008 Messages : 9561 Pays : FRANCE R E L I G I O N : Déiste,
| Sujet: Re: VICTOR HUGO ET MAHOMET Sam 23 Nov 2013, 6:26 am | |
| - Arlequin a écrit:
- "Tu n'as pas appris Victor Hugo à l'école ?"
Oh!Que si!Sauf que je ne l'ai jamais aimé. Les goûts et les couleurs .... |
| | | Arlequin MODERATION
Date d'inscription : 06/05/2013 Messages : 3242 Pays : Algérie R E L I G I O N : Muslim
| Sujet: Re: VICTOR HUGO ET MAHOMET Sam 23 Nov 2013, 6:31 am | |
| "Les goûts et les couleurs"
Vois-tu,à l'école,jamais bien Jean de la Fontaine.Sa fable du corbeau et du renard,me sera utile toute ma vie. Surtout avec les temps qui cours!
|
| | | florence_yvonne Membre d'honneur
Date d'inscription : 08/06/2008 Messages : 9561 Pays : FRANCE R E L I G I O N : Déiste,
| Sujet: Re: VICTOR HUGO ET MAHOMET Sam 23 Nov 2013, 7:29 am | |
| Il y a plus de poésie dans l’œuvre de Victor Hugo que dans tout le Coran. |
| | | yacoub MODERATION
Date d'inscription : 27/07/2010 Messages : 7006 Pays : france R E L I G I O N : agnostique
| Sujet: Re: VICTOR HUGO ET MAHOMET Dim 24 Nov 2013, 12:43 am | |
| - florence_yvonne a écrit:
- Il y a plus de poésie dans l’œuvre de Victor Hugo que dans tout le Coran.
Mahomet se défendait d'être un poète et même a stigmatisé les poètes et la poésie. "Il vaut mieux avoir son ventre plein de pus que sa tête remplie de poésie" disait il Mahomet n'aimait pas non plus la musique sauf la musique militaire. Mahomet n'aimait pas le dessin ni la sculpture. |
| | | Loup Ecossais Catholique
Date d'inscription : 20/04/2009 Messages : 679 Pays : Austrasie R E L I G I O N : .
| Sujet: Re: VICTOR HUGO ET MAHOMET Dim 24 Nov 2013, 3:22 am | |
| - yacoub a écrit:
- florence_yvonne a écrit:
- Il y a plus de poésie dans l’œuvre de Victor Hugo que dans tout le Coran.
Mahomet se défendait d'être un poète et même a stigmatisé les poètes et la poésie.
"Il vaut mieux avoir son ventre plein de pus que sa tête remplie de poésie" disait il
Mahomet n'aimait pas non plus la musique sauf la musique militaire.
Mahomet n'aimait pas le dessin ni la sculpture. Iconoclaste, pédophile, guerrier sanguinaire, macho, bref, toutes les tares d'un malade mental... |
| | | L'auteur de ce message est actuellement banni du forum - Voir le message | yacoub MODERATION
Date d'inscription : 27/07/2010 Messages : 7006 Pays : france R E L I G I O N : agnostique
| Sujet: Re: VICTOR HUGO ET MAHOMET Lun 02 Déc 2013, 6:40 am | |
| Il est cependant l'idôle d'un milliard d'êtres humains. |
| | | Arlequin MODERATION
Date d'inscription : 06/05/2013 Messages : 3242 Pays : Algérie R E L I G I O N : Muslim
| Sujet: Re: VICTOR HUGO ET MAHOMET Lun 02 Déc 2013, 6:44 am | |
| - yacoub a écrit:
- Il est cependant l'idôle d'un milliard d'êtres humains.
Un peu plus!Mais comme le disait si bien mon pépé: "une poignée d'abeille est plus utile qu'un sac de mouche." |
| | | florence_yvonne Membre d'honneur
Date d'inscription : 08/06/2008 Messages : 9561 Pays : FRANCE R E L I G I O N : Déiste,
| Sujet: Re: VICTOR HUGO ET MAHOMET Lun 02 Déc 2013, 7:00 am | |
| - yacoub a écrit:
- Il est cependant l'idôle d'un milliard d'êtres humains.
Comme certains chanteurs. |
| | | Arlequin MODERATION
Date d'inscription : 06/05/2013 Messages : 3242 Pays : Algérie R E L I G I O N : Muslim
| Sujet: Re: VICTOR HUGO ET MAHOMET Mar 03 Déc 2013, 6:54 am | |
| - florence_yvonne a écrit:
- Comme certains chanteurs.
Qui chantent,soit en retard,soit en avance par rapport au rythme de la musiqua! |
| | | yacoub MODERATION
Date d'inscription : 27/07/2010 Messages : 7006 Pays : france R E L I G I O N : agnostique
| Sujet: Re: VICTOR HUGO ET MAHOMET Mar 03 Déc 2013, 9:01 am | |
| Cri de guerre du mufti
En guerre les guerriers ! Mahomet ! Mahomet ! Les chiens mordent les pieds du lion qui dormait, Ils relèvent leur tête infâme. Ecrasez, ô croyants du prophète divin, Ces chancelants soldats qui s'enivrent de vin, Ces hommes qui n'ont qu'une femme !
Meure la race franque et ses rois détestés ! Spahis, timariots, allez, courez, jetez A travers les sombres mêlées Vos sabres, vos turbans, le bruit de votre cor, Vos tranchants étriers, larges triangles d'or, Vos cavales échevelées !
Qu'Othman, fils d'Ortogrul, vive en chacun de vous. Que l'un ait son regard et l'autre son courroux. Allez, allez, ô capitaines ! Et nous te reprendrons, ville aux dômes d'azur, Molle Setiniah, qu'en leur langage impur Les barbares nomment Athènes ! |
| | | ZionRock .
Date d'inscription : 27/06/2012 Messages : 1005 Pays : France R E L I G I O N : le Chemin,la Vie,la Vérit
| Sujet: Re: VICTOR HUGO ET MAHOMET Mar 03 Déc 2013, 3:08 pm | |
| - fils d'adam a écrit:
- titibxl a écrit:
- et mickael jackson, et lady Diana aussi pas oublier ...facile de faire parler les morts...par contre on entend jamais un vivant venir parler de l'islam...aller on leur laisse mohamed ali et cat stevens....
meme cristiano ronaldo (portugais) ils avaient traffiqué une photo ou il recoit une photo d'equipe de foot dans un cadre par des soit disant verset du Coran encadré mdr...le problerme c'est que la vrai photo était disponible (celle avec l'équipe de foot)
enfin ... hahhaa, jackson, diam's, ronaldo et tout le monde du show bizz, on vous les laisse, ce sont le resultat de votre culture! nous les arbes nous n'avons d'idole que allah et point de poster d'une idole quelconque pour nos petits sauf peut etre les photos de nos grand pere et grand mere qui sentent bon la spiritualité!
par contre un leopold weiss ou victor hugo, ca me parle!
tenez par exemple LEOPOLD WEISS, PRENEZ EN DE LA GRAINE " LES INTELLIGENTS" Léopold Weiss connu sous le nom de Muhammad Asad est issu d’une dynastie rabbinique des confins de l’Europe, dont le grand père Benjamin Weiss de Czernowitz, était connu pour ses colères, ses passions, et ses œuvres. Léopold Weiss nait à Lemberg en 1900, ville des confins orientaux de l’Empire austro-hongrois. Il restera une personnalité fascinante voire une énigme pour certains, de par son parcours hors du commun et sa quête spirituelle : personnage aux multiples facettes dont l’écheveau de son parcours traverse l’Histoire du XX ème siècle pour nous en dévoiler les inquiétudes et les espoirs qui restent toujours d’actualité dans un monde en plein questionnement si ce n’est crise, face aux périls qui ont jalonné l’Histoire et dont nous subissons les effets de nos jours encore.
Issu d’une famille de rabbins orthodoxes, puis assimilée à la figure du père qui exerça le métier d’avocat et se détacha peu à peu de la religion de ses ancêtres pour épouser la culture allemande. Toutefois, le père Kiwa (Karl) Weiss qui était peu pratiquant, fut contraint dès son plus jeune âge de suivre un enseignement rabbinique des plus strict, de façon à ce qu’il ne fasse pas comme un de ses oncles qui se convertit au christianisme pour répudier sa femme et épouser une non-Juive.
C’est pour cela que Léopold Weiss jouira au contraire d’une éducation plus souple, qui lui permettra de développer son esprit critique. Néanmoins, il sera au fait des écritures anciennes dont l’araméen et l’hébreu qui lui permettront de lire les textes de l’Ancien Testament, de la Mishnah et de la Guermarah au point d’en être familier et d’en maîtriser la langue, tout comme l’arabe avec le Coran bien des années plus tard, et auquel il donnera un remarquable essai de traduction.
Déjà adolescent à Vienne, il sera assistant du cinéaste Murnau, puis journaliste de la célèbre Frankfurter Zeitung pour en être plus tard correspondant spécial en Palestine. Il fréquentera les cafés de Vienne. Il écrit à ce propos, « Le café viennois détruit notre intelligence et notre culture. Notre vie littéraire gît morte dans ce gouffre de brouillard et de fumée. » (Cf, correspondance avec Edmund Wengraf). Il y rencontra sûrement des personnalités telles que Sigmund Freud et fut au fait des théories psychanalytiques les plus récentes de part l’intermédiaire de son oncle Dorian Feigenbaum avec qui il partira en Palestine, mais en éprouvera toutefois une forme d’insatisfaction.
Il écrira dans son livre le plus connu, Sur le chemin de la Mecque, (p. 57-58), « Les conclusions de la psychanalyse, à laquelle j’étais introduit dans ces jours de perplexité de jeunesse, me laissaient également, bien que pour des raisons différentes, insatisfait. » Il faut comprendre ce sentiment et ce vide existentiel face à une société autrichienne secouée par la première guerre mondiale et en proie au matérialisme et au nationalisme, si ce n’est le fascisme le plus inquiétant, qui donnera lors de la seconde guerre mondiale le pire génocide. C’est ce qui conduira Léopold Weiss à développer une personnalité qui était en perpétuel questionnement et recherche de sens.
D’ailleurs, dans le judaïsme de ses aïeux, il lui reprochera une dimension particulariste et un aspect trop ritualiste. Il ne pouvait comprendre comment un Dieu puisse se préoccuper autant du sort d’une nation particulière. Cela lui paraissait suspect. A l’époque, il avouera et écrira qu’il pensait même, (ibid, p. 57-58), « récompensant (le peuple élu) par ses conquêtes s’il suivait sa voie droite et le faisant souffrir entre les mains des incroyants chaque fois qu’il s’en écartait » ; de façon à expliquer sa méfiance. Bien entendu, plus tard en se convertissant à l’islam, il comprendra la place prépondérante que les Banû Israël tiennent dans le Coran, ce qui le réconfortera dans son questionnement, son choix et sa conversion à l’islam.
Enfin, Léopold Weiss passera de longues années au Moyen-Orient au contact des bédouins palestiniens et arabes, où il trouvera l’incarnation de ses ancêtres spirituels. Il écrira même, (ibid, p. 89), « Il m’apparut soudain, avec une de ces clartés qui éclatent parfois au-dedans de nous-mêmes et semble illuminer le monde pendant le temps d’un battement de cœur, que David et le temps de David, comme Abraham et le temps d’Abraham, étaient plus proches de leurs racines arabes _comme le sont les bédouins d’aujourd’hui_ que les juifs d’aujourd’hui qui se prétendent leurs descendants…»
Comme l’écrit si bien Florance Heymann, dans Un juif pour l’islam (éd. Stock), Lépold Weiss comme la plupart des Européens qui débarquaient au Moyen-Orient avec quelques notions romantiques et erronées ne pensaient jamais à la Palestine comme à une terre arabe. A ce propos Muhammad Asad écrit, « Bien sûr, je savais vaguement que certains Arabes y vivaient, mais j’imaginais qu’il ne s’agissait que de nomades vivant sous la tente dans le désert ou des habitants d’oasis idylliques. Comme toutes mes précédentes lectures sur la Palestine avaient été écrites par des sionistes, je n’avais pas compris que les villes, elles aussi, étaient pleines d’Arabes, à tel point qu’en 1922 on comptait en Palestine près de cinq Arabes pour un seul Juif, ce qui en faisait un pays arabe beaucoup plus que juif. »
Léopold Weiss, quelques années plus tard, se convertit à l’islam à l’âge de 26 ans. Surpris par la seconde guerre mondiale dans les Indes britanniques, il se retrouve interné comme ennemi autrichien dans la région de Bombay. Il y apprendra par courrier la déportation de ses parents. Il sera un ami intime du Roi Fahd d’Arabie saoudite auquel il conseillera en vain de se méfier du matérialisme occidental qui risquerait de détruire leur mode de vie authentique qui l’avait tant séduit. Il participera à l’aventure de la fondation du Pakistan, dont il deviendra même ambassadeur et représentant à l’ONU, et il en sera l’idéologue au côté du fameux Muhammad Iqbal.
Mais, face aux « indépendances » et aux Etats-Nations naissants, Muhammad Asad comprit fort bien le danger qui se pointait, pour l’avoir connu en Occident. Sur le long terme, la montée des nationalismes allait non pas former une Masse et une Puissance islamique homogène comme le redoutait Elias Canetti et comme le redoutent encore certains sionistes, mais un morcellement de l’Empire Ottoman, démantelé par les puissances mandataires britanniques et françaises, pour arriver aux objectifs et projets dont nous voyons les résultats encore aujourd’hui : diviser pour mieux régner. Même à l’aune de l’impérialisme américain et des révolutions arabes, rien de mieux que d’attiser les guerres ethniques et religieuses (Kurdes, chrétiens orientaux, chiites, sunnites) voire même tribales (Irak, Afghanistan, Lybie) et tensions entre laïques pro-occidentaux et islamistes.
Devant des musulmans en proie à la modernité et au nationalisme, le rêve de Muhammad Asad d’un Etat islamique idéal au Pakistan s’évanouira. Dès lors, il ne sera pas compris et passera au pire comme suspect pour avoir répudié son épouse d’origine arabe pour en prendre une d’origine européenne, et au mieux comme un idéaliste. Muhammad Asad restera fidèle à sa foi islamique, mais le constat d’une « Oumma » mythique ne fera que confirmer les chiismes et les tensions qui perdurent depuis la mort du prophète Muhammad (saws). Néanmoins, ce qui restera frappant chez cette personnalité hors du commun qu’est Muhammad Asad, c’est que son identité n’était pas prédéterminée mais en devenir et en constant mouvement et questionnement. Pour reprendre Heidegger, « (Le commencement) ne gît pas devant nous (…) mais il se dresse devant nous ».
Conclusion…
Tu sais quoi fils d'adam, tu me fais penser à ces "GROUPIES" qui passent leur vie à courser les célébrités, leurs idoles auquels elles vouent une admiration sans pareille, avident de ragots, fouillant leur vie de fond en comble, et qui après s'en vont toutes fébriles, épater leur entourage. Toi, c'est le même principe. Citer des célébrités ayant embrasser l'islam, juste pour t'assurer qu'avec l'islam, c'est la méga-frime assurée ! Mon avis, tu n'as pas pris conscience, ta façon idiote de propagander l'islam... |
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