Alors que le projet de révision de la loi de bioéthique revient lundi 27 juillet devant l’Assemblée nationale, le père Bruno Saintôt, directeur du centre d’éthique biomédicale du Centre Sèvres, estime que son contenu ne peut se résumer au résultat d’un équilibre entre jeux de pouvoirs et d’intérêts.