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 La « deuxième révolution » des insurgés syriens contre l'EIIL

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florence_yvonne
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MessageSujet: La « deuxième révolution » des insurgés syriens contre l'EIIL   La « deuxième révolution » des insurgés syriens contre l'EIIL Icon_minipostedVen 10 Jan - 12:54

Des insurgés syriens l'ont qualifiée de « deuxième révolution ». L'offensive, lancée le 3 janvier depuis la ville d'Alep, dans le nord de la Syrie, par une coalition hétéroclite d'insurgés n'a pourtant pas pour cible l'armée du président Bachar Al-Assad. Visé : l'Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL), un groupe djihadiste apparu au printemps 2013 en Syrie et ayant des ramifications avec l'insurrection djihadiste irakienne.

Composé d'une armée de 5 000 à 6 000 combattants, pour la plupart irakiens et étrangers, l'entité s'est imposée, par la force des armes et l'argent, comme le groupe le plus puissant dans les zones libérées de l'autorité d'Assad.
Depuis une semaine, la guerre qui oppose des rebelles islamistes aux jihadistes de l'EIIL a causé la mort de près de 500 personnes dans le nord de la Syrie, a affirmé, vendredi 10 janvier, une ONG. "Nous avons pu établir que 482 personnes avaient trouvé la mort en raison des combats : 240 membres des brigades rebelles, 157 combattants de l'EIIL et 85 civils", a affirmé à l'AFP Rami Abdel Rahmane, directeur de l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH).

Lire Les djihadistes de l’Etat islamique reculent en Syrie

Une lutte d'influence entre brigades
La mort sous la torture dans une prison de l'EIIL d'un médecin réputé au sein de la rébellion d'Alep, surnommé Abou Rayyan, début janvier, a choqué, et précipité l'offensive des bataillons insurgés contre le groupe extrémiste sunnite dans le nord et l'est du pays.

Mais cette guerre ouverte est l'aboutissement de la dégradation progressive des rapports entre groupes rebelles et l'EIIL. Depuis l'été 2013, l'EIIL est accusé par la Coalition nationale syrienne (CNS) et des groupes d'insurgés de jouer le jeu du régime, tant par ses tentations hégémoniques et que par la multiplication des exactions contre les combattants et les civils dans les zones rebelles.

Lire le décryptage Les ambitions régionales de l'Etat islamique en Irak et au Levant

Des prisonniers exécutés dans l’un des hôpitaux d’Alep, en Syrie, par des djihadistes de l’Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL), mercredi 8 janvier 2014.
L'offensive cache également une lutte d'influences engagée pour le contrôle de la région Nord, frontalière de la Turquie et stratégique pour l'approvisionnement des zones libérées. Face à la déliquescence de l'Armée syrienne libre (ASL) sur le terrain, les groupes djihadistes les plus puissants se fédèrent depuis l'automne au sein de coalitions fluctuant au gré des ancrages stratégiques, territoriaux ou idéologiques pour tenter de contrecarrer la mainmise de l'EIIL.

Cette lutte d'influence se traduit également, estime le spécialiste de l'islam syrien Thomas Pierret, sous forme d'une lutte pour les financements. Certaines brigades, à l'instar de Jeich Al-Islam ou d'Ahrar Al-Chaam, pourraient être en concurrence avec l'EIIL dans l'accès aux donations privées de riches Saoudiens et Koweïtiens notamment.


Une coalition hétéroclite et conjoncturelle de rebelles
L'offensive a été lancée par trois coalitions distinctes de la rébellion, d'obédience islamiste et pour certaines liées à l'ASL.

Les deux premières, qui ont publié une véritable déclaration de guerre à l'adresse de l'EIIL, comprennent le Front des révolutionnaires syriens (FRS) qui s'est constitué courant décembre en fédérant des factions militaires liées à l'ASL. Ce groupe, présent sur tout le territoire et dans la région d'Idlib et Hama en particulier, est surtout composé d'officiers déserteurs de l'armée syrienne, à l'instar de Qassem Saad Eddin, une figure historique de l'ASL, ou de Jamal Maarouf, client privilégié de l'Arabie saoudite, présent à Idlib.

Des combattants de l'Armée syrienne libre, le 8 décembre à Alep.
Dernière-née le jour de cette offensive, l'Armée des moudjahidins regroupe deux composantes également proches de l'ASL : des factions islamistes qui appartenaient à la 19e division de l'ASL, basée principalement dans l'ouest d'Alep et des groupes liés au Front de l'authenticité et du développement, une organisation salafiste pro-saoudienne. Le groupe prétend disposer de 5 000 combattants, précise le chercheur Aron Lund du centre Carnegie.

La plus importante est le Front islamique (FI), formé le 22 novembre 2013, et dont l'engagement dans la bataille varie selon les composantes. La « Liwat Tahwid », la plus grande des factions FI à Alep, s'est engagée à corps perdu dans la bataille, pour se venger de l'EIIL qui ne l'a jamais ménagée. « Jeich Al-Islam » (l'Armée de l'islam), une autre faction FI basée à Damas et proche de l'Arabie saoudite, est elle aussi très en pointe contre l'EIIL, du fait notamment de différends territoriaux et financiers.

La brigade Ahrar Al-Chaam, quant à elle, a adopté une position ambivalente. « Elle se disait peu concernée par la lutte anti-EIIL et bloquait l'offensive, car elle travaille étroitement avec l'EIIL contre les milices rebelles kurdes dans le nord-est de la Syrie. Finalement, elle aurait donné le feu vert à l'opération », explique Thomas Pierret, spécialiste de l'islam syrien. L'opération a été lancée au lendemain de l'assassinat par l'EIIL du commandant d'Ahrar Al-Chaam à Tel Abyad, pointe le chercheur.

Des membres d’Al-Tawhid, à Alep. Cette brigade fait partie des treize groupes armés
de la rébellion qui ont annoncé la formation d’ une nouvelle alliance en septembre.
Aux côtés de ces formations participent aussi, de façon plus ambiguë, des combattants djihadistes du Front Al-Nosra. Le Front a fait cause commune avec l'Etat islamique en Irak, l'ancêtre de l'EIIL, avant de faire scission au printemps 2013 puis allégeance à Al-Qaida. Le Front Al-Nosra, dont le chef Abou Mohamed Al-Jolani a appelé le 7 janvier à un cessez-le-feu, essaie de récupérer les combattants étrangers de l'EIIL en leur offrant l'amnistie et l'asile. Mais à Rakka, bastion de l'EIIL, des bataillons du Front Al-Nosra le combattent. « Ce sont pour la plupart des bataillons entrés en septembre au sein d'Al-Nosra pour se protéger de l'EIIL et qui saisissent aujourd'hui l'occasion de se venger », analyse Thomas Pierret.

La main de l'Arabie saoudite
Les trois formations à l'initiative de l'offensive ont en commun un même parrainage, celui, plus ou moins direct, de l'Arabie saoudite. Depuis la perte d'influence du Qatar dans les révolutions arabes, consommée avec la chute de la mouvance frériste en Egypte, en Tunisie, ainsi qu'au sein de la Coalition nationale syrienne (CNS), le royaume saoudien a restauré son influence sur la région. Sans toutefois réussir à convaincre les puissances occidentales, et notamment les Etats-Unis, de s'engager davantage à ses côtés auprès de l'opposition syrienne.

A moins de deux semaines de la conférence de paix de Genève 2, qui doit s'ouvrir le 22 janvier à Montreux, en Suisse, « l'Arabie saoudite, avec son maître d'œuvre Bandar ben Sultan ben Abdelaziz Al-Saoud, le chef des services de renseignement, a décidé de faire le ménage sur le terrain pour ne plus être taxé d'appui à la mouvance djihadiste », analyse David Rigoulet-Roze, chercheur à l'Institut français d'analyse stratégique (IFAS). « Lutter contre Al-Qaida constitue pour l'Arabie saoudite un moyen de se voir attribuer un brevet de bonne conduite en soutenant des groupes susceptibles de recevoir des aides étrangères », poursuit-il. Le 11 décembre 2013, les Etats-Unis et la Grande-Bretagne avaient annoncé la suspension de leur aide non létale à la rébellion, craignant la montée des radicaux dans le conflit.

Une guerre d'usure à l'issue incertaine
La bataille s'annonce longue et périlleuse. Le chef de l'EIIL, qui a essuyé de gros revers sur le terrain, a promis, le 7 janvier, d'« anéantir » les autres groupes rebelles. Le pari est jugé risqué par certains. « Je ne pense pas qu'il puisse l'emporter, il est numériquement trop faible par rapport aux autres groupes rebelles. Toutefois, il sera extrêmement difficile de l'éliminer complètement et on peut s'attendre à le voir conduire une guerre d'usure contre les rebelles, en particulier par le biais d'attentats », assure Thomas Pierret. L'entité pourrait courir le risque de perdre ses bastions syriens et d'être repoussée au-delà de la frontière, dans son fief irakien.

Un militant du Front Al-Nosra, en 2012 à Alep.
Mais, comme le pointe Dominique Thomas, spécialiste des mouvements djihadistes à l'Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS), « la situation peut se renverser. Les forces modératrices vont peut-être trouver un terrain d'entente pour continuer à lutter ensemble contre le régime ». Certains groupes rebelles, à l'instar du « Front Al-Nosra, d'Ahrar Al-Chaam et de Liwat Al-Haq, ont entamé des médiations auprès de l'EIIL pour tenter une désescalade », poursuit-il. Pour cet expert, la grande coalition anti-EIIL, aux intérêts trop divergents, ne peut tenir sur le long terme. Chose qu'a bien comprise l'émir de la branche syrienne de l'EIIL, Abou Mohamed Al-Adnani, qui tente de fissurer cette union, par des appels du pied en direction du Front Al-Nosra.
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En Syrie, la pieuvre djihadiste est blessée mais elle n'est pas morte. « Da'ech », acronyme arabe de l'Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL), a subi de cuisantes défaites dans la guerre intestine qui l'oppose, depuis vendredi 3 janvier, aux brigades rebelles syriennes. Mais le conflit promet d'être encore long et violent. En Irak aussi, l'EIIL est sous pression : la ville de Fallouja, aux mains des combattants de Da'ech et de tribus hostiles au gouvernement de Nouri Al-Maliki, est assiégée par l'armée dans l'attente d'un assaut qui s'annonce sanglant. Quelque 13 000 familles ont déjà quitté Fallouja.
Des prisonniers exécutés dans l’un des hôpitaux d’Alep, en Syrie, par des djihadistes de l’Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL), mercredi 8 janvier 2014.
Bien qu'en déroute dans le nord de la Syrie, après la chute de son quartier général à Alep, le mouvement djihadiste n'est pas prêt à abandonner le champ de bataille, comme l'ont prouvé les déclarations de son porte-parole, Abou Mohamed Al-Adnani, appelant à « écraser » les « alliés des croisés et des juifs ». « En tournant leurs armes contre une force déjà bien implantée, disposant de sources de financement visiblement solides et de réseaux de recrutement en provenance des quatre coins du monde, les rebelles syriens se sont forgés un ennemi qui va générer dans les années qui viennent une profonde instabilité », prédit Charles Lister, analyste au Brookings Doha Center, dans le magazine américain Foreign Policy.

Mercredi 8 janvier, les combattants djihadistes ont été délogés de l'hôpital pour enfants qu'ils avaient transformé en place forte, dans le quartier de Kadi Askar à Alep. L'assaut a été mené par le Front islamique, une alliance de brigades d'obédience salafiste, l'Armée des moudjahidin, une force d'inspiration islamiste modérée et le Front des révolutionnaires syriens, de tendance nationaliste. Ces trois mouvements sont à l'origine de l'offensive déclenchée vendredi contre l'EIIL, qui passait jusque-là pour la force militaire la plus puissante, dans les zones libérées du nord et de l'est de la Syrie.

COMBATTANTS ACCUSÉS DE « VOLER » LA RÉVOLUTION

Considérés initialement comme des alliés dans le combat contre la dictature Assad, ses combattants, souvent étrangers, ont vite été accusés de « voler » la révolution, du fait de leurs prétentions hégémoniques et des multiples actes de barbarie qu'ils ont commis.

Dans l'hôpital libéré d'Alep, les rebelles ont ainsi découvert les corps d'une quarantaine de prisonniers, dont au moins cinq militants révolutionnaires et vingt et un combattants, que les anciens maîtres des lieux ont exécutés dans leur fuite. Selon Charles Lister, qui s'appuie sur un décompte dressé par des militants de l'opposition, l'EIIL a perdu le contrôle de 24 localités sur les 40 où des affrontements ont éclaté. Difficile cependant de distinguer dans ce mouvement de reflux les véritables défaites des simples replis tactiques.

Les assaillants espèrent encore s'emparer d'Adana (province d'Idlib) et de Rakka, à l'est, dont l'EIIL avait fait sa capitale. Dans cette dernière, les combats sont menés par le Front Al-Nosra, la branche officielle d'Al-Qaida en Syrie, composée d'insurgés en majorité syriens, appréciés pour leur discipline et leur ardeur dans la lutte contre les forces pro-Assad.

Restée à l'écart des hostilités dans beaucoup d'autres provinces, cette formation djihadiste a rejoint l'attaque anti-EILL à Rakka, dans l'espoir de reconquérir la position de force qui était la sienne, en mars – lorsque la ville était tombée aux mains de l'insurrection –, avant que l'EIIL ne l'en évince.

Lire aussi Les ambitions régionales de l'Etat islamique en Irak et au Levant

Dans un communiqué audio diffusé mardi, le chef d'Al-Nosra, Abou Mohamed Al-Joulani, a tendu la main à son rival, en proposant un cessez-le-feu et la création d'un tribunal islamique, destiné à trancher les disputes. Le Front pourrait sortir renforcé de la confrontation en cours, en récupérant dans ses rangs une partie des troupes en débandade de l'EIIL. Il semble que ce soit déjà le cas dans le sud d'Alep, où une centaine de ses hommes se sont rendus à Al-Nosra, qui leur offre l'amnistie.

Quelques heures plus tard, dans un message sur Internet, le porte-parole de l'EIIL, Al-Adnani, promettait « l'anéantissement » à ses ennemis, mais se montrait moins agressif à l'égard d'Al-Joulani, à qui il demandait simplement : « Qui vous a poussé à vous battre contre nous ? » Une tactique destinée à fissurer l'union à laquelle l'EIIL est confrontée et à lui redonner une marge de manoeuvre sur le terrain.

« SEULE L'OPPOSITION LUTTE RÉELLEMENT CONTRE LE TERRORISME »

Dans les milieux proches de la Coalition nationale syrienne (CNS), on insiste sur le fait que l'ouverture de ce nouveau front est une étape positive, contrairement aux assertions du régime, qui y voit une nouvelle manifestation du morcellement de la rébellion. « La débâcle de Da'ech est un soulagement pour le peuple, déclare Marouan Abou Omar, un activiste de la société civile, joint par Skype, dans la banlieue d'Alep. Ses membres régnaient par la terreur. Les attaques des derniers jours démontrent que seule l'opposition lutte réellement contre le terrorisme. »

Au sein de l'opposition, personne ne se risque cependant à décréter la victoire finale sur l'EIIL. La façon dont le paysage politique des zones libérées va se recomposer fait l'objet d'intenses spéculations. « Le Front Al-Nosra devrait tirer son épingle du jeu à Rakka, mais à Alep, c'est le Front islamique et l'Armée des moudjahidin, qui est formée de combattants quasi exclusivement alépins, qui vont l'emporter », assure un cadre de la CNS, sous couvert d'anonymat.

A court terme, l'EIIL pourrait se replier sur Deir ez-Zor, l'un de ses bastions, dans l'est de la Syrie, qui résiste pour l'instant aux attaques des rebelles. Facile à ravitailler depuis la province sunnito-irakienne de l'Anbar, le berceau de l'EIIL, cette localité pourrait lui servir à la fois de sanctuaire et de tremplin pour repartir à l'assaut de ses ennemis syriens. « J'ai peur que ça n'en finisse jamais, que des voitures piégées se mettent à exploser un peu partout dans nos villes, dit Marouan Abou Omar. Tout le monde se bat contre tout le monde alors que le régime continue à nous bombarder. La vérité, c'est que nous sommes perdus. »
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